Dahu Trail 2020

Le printemps d'Ozon Courir, c'est l'évènement que je ne veux rater sous aucun prétexte.

La course se déroule juste à côté de la maison sur les chemins sur lesquels j'ai l'habitude de m'entrainer avec les copains du club.

C'est aussi l'occasion de voir les copains du coin, Tito, Fabien, Johan...

Cette année encore, je décide de m'inscrire sur la plus longue distance à savoir le 34km... J'ai l'impression que plus les années passent et plus ce trail est long !!!

Il va surtout falloir gérer la fatigue de la semaine au ski, j'ai peur de souffrir musculairement durant la course.

 

Il est 8h, le départ est donné. Je trouve mon rythme assez facilement.

Il faut gérer la course maintenant...

 

Les premiers kilomètres se déroulent très bien, les sensations sont excellentes et le rythme tient...

Le soleil est au rendez-vous et il commence même à faire chaud.

 

Rapidement, je me trouve avec un groupe de coureurs. Nous sommes tous à quelques mètres les uns des autres. Nous rattrapons même certains coureurs du 18 sur le parcours...

 

Au bout de 25 kilomètres, je lève le pied... La fatigue commence à se faire ressentir et les muscles tirent.

Je vais devoir serrer les dents sur la fin du parcours.

 

32 Kilomètres, j'ai repris des forces et j'entame la dernière montée et la toute dernière descente à suivre, et là ce qui devait arriver arriva: CRAMPES !!!

D'abord au mollet droit puis au gauche... Je n'ai pas le choix, je dois m'arrêter pour m'étirer et repartir... Je perds du temps et quelques places (et surtout le podium dans ma catégorie !!!).

 

Ca y est, je peux repartir et finir en serrant les dents... Je m'accroche et termine la course en 18ème position, 5ème de ma catégorie.

 

La semaine précédant a course, j'ai perdu mon grand-père. Même si je ne suis pas monté sur le podium, je lui dédie cette course et ce texte.

 

 


Foulées San Priotes

L'inscription à cette course est offerte par le club. C'est l'occasion pour moi de voir tous les copains de Corbas Running et de faire quelques kilomètres avec eux.

Cette année, je décide de m'aligner sur le semi-marathon. La course sur route c'est pas mon fort, alors je vais en profiter pour faire une sortie longue. Ca tombe bien car Lolo est là aussi pour faire une sortie longue. Du coup, nous avons profité de ces 21km au milieu des immeubles pour papoter. On termine en mois de 1h40.

Un super moment avec les potes.


Trail givré de Montanay

Une étape du TTN, c'est toujours une course très rapide. Le Trail Givré est lui la course la plus relevée de la région lyonnaise où toutes les grosses écuries viennent se frotter les unes aux autres. Au milieu de tout ça, il y a les coureurs de Corbas Running dont je fais partie.

Pour cette édition, le givre n'est pas présent par contre la boue est de la partie.

Après un léger échauffement, on se met en place sur la ligne de départ. 

Devant les fusées sont parties mais je décide de partir sur un rythme élevé pour bien me positionner.

Je tiens le rythme sur 5 km et décide de lever le pied. Malgré tout, je passe les 10 km en 48 minutes. Il reste 13 km à faire et il va falloir tenir.

C'est chose faite et le contrat est rempli car je termine en moins de 2 heures et à une très belle 186ème place.


Hivernal des Coursières

C'est la "course" à ne pas louper en ce début d'année et encore une fois je décide de prendre le départ du 30km.

Cette année, le parcours a quelque peu été modifié mais nous aurons toujours droit à la formidable montée du Signal où l'ambiance est digne d'une étape de montagne du Tour de France.

Comme d'habitude, j'arrive juste pour le départ et je termine de me préparer sur la ligne.

Pour cette édition, j'ai pris mes bâtons et ce fût une excellente décision.

Dès le départ, les fauves sont lâchés mais je me retrouve très vite enfermé et je n'arrive pas à m'extirper du milieu du peloton. 

Je trouverai mon rythme de croisière plus tard.

Les kilomètres s’enchaînent et les sensations sont là mais à partir du kilomètre 15, je ressens une gêne au niveau du pied gauche avec une mauvaise circulation sanguine. J'ai des fourmis et c'est assez désagréable. Je sers les dents et j'avance.

Une fois la gêne passée, j'essaie enfin accélérer mais les sensations ne sont pas exceptionnelles contrairement au temps qui lui est magnifique.

Ayant déjà participé à plusieurs éditions, je sais que la fin est proche et là j'arrive enfin à courir normalement. Je termine sur un bon rythme et améliore mon chrono sur ce parcours très technique et exigeant.

Au final je termine à la 186ème place.

 

Comme dirait l'autre, je reviendrai...